» En 1975 est né à Capbreton le Santocha Surf Club, un nom tiré du film mythique (réalisé dans l’esprit surf de cette époque), sorti un an plus, The Forgotten Island of Santocha. Luc Petit, enfant de la balle, bodyboardeur, écrivant pour les mags de surf, travaillant chez Rip Curl…, a décidé plus de 40 ans plus tard de faire un travail de mémoire. Au départ le projet d’un livre avec quelques photos du passé rassemblées, puis c’est devenu une quête d’images, de souvenirs qui a duré quatre ans et qui a abouti à ce livre monumental de 350 pages, à la volonté d’un seul homme, traitant de l’histoire du surf à Capbreton.
Auto édition : une solution courageuse
Edité grâce à des partenariats et un crowdfunding, ce livre est incontournable pour tout surfeur capbretonnais ou landais, la richesse de sa diversité iconographique à travers les décennies en fait un ouvrage d’archives à même de régaler plus d’un historien. Nous, on est totalement admiratif devant cette oeuvre de tissage d’une communauté. Et si tous les surf clubs faisaient de même, que de liens transgénérationnels se renouvelleraient, se perpétueraient à l’eau comme sur la plage. »
Gibus de Soultrait.
« Nous, on est totalement admiratif devant cette oeuvre de tissage d’une communauté. »