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Auteur/autrice : littleluke

Tant d’efforts Magasine, Noa

Tant d’efforts magasine
France 3 Aquitaine

Unique livre en Aquitaine, et même en France qui retrace l’histoire de ce sport dans notre région de la Nouvelle Aquitaine, et plus précisément dans le seul port des Landes qu’est Capbreton, Générations Santocha a été sour les feux des projecteurs de France Télévision en ce début d’année 2023.

L’excellent journaliste sportif Nicolas Morin, de France 3 Aquitaine, est venu en janvier 2023 faire un reportage sur le livre Générations Santocha, le livre sur l’histoire du surf à Capbreton, le Best Seller qui a marqué tous les esprits fin 2022.

Nicolas Morin a passé la matinée à interviewer l’auteur Luc Petit, mais aussi des pionniers historiques du surf à Capbreton et membres du Santocha Surf Club depuis ces débuts : Philippe Vergez et Frank Zancanaro.

Le reportage a été diffusé dans l’émission « Tant d’efforts » , le journal des sports de la Nouvelle Aquitaine, le dimanche 29 janvier à 20h.

Nicolas à promis de revenir passer plus de temps avec les kids du club dont les performances l’intéressent beaucoup.

3 anciens réunis ce matin de janvier 2023 pour parler de l’histoire du club avec le journaliste de France 3 NOA, l’excellent Nicolas Morin. Petit Luc, Frank Zancanaro et Philippe Gelez.

« Je passe vraiment de bons moments à lire les histoires que je ne connaissais pas, celles dont je ne me souvenais plus, regarder les photos d’époque: c’est vraiment une réussite ! »
Vincent.

Stay Tunes – Tant d’efforts reviendra au Santocha !

3 NoA, c’est la chaîne 100% régionale à destination des 6 millions d’habitants de la Nouvelle-Aquitaine. Créée en partenariat avec la région, .3 NoA est diffusée sur les box, sur Internet et sur smartphone, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.

NoA TV se consacre principalement à la couverture de l’actualité, de la culture, du sport et des événements locaux de la région de la Nouvelle-Aquitaine. Elle propose également divers programmes de divertissement et d’information destinés au public de la région.

Retrouvez France 3 NOA sur
SFR Box Canal 455, Orange Box Canal 339 ,Bbox Canal 337, CanalSat Canal 374 ,Free Box Canal 326, et je ne sais pas sur la Reef Box…vers le Canal 89 748,4…

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Vision, par Hot Dogger

Vision

« L’émérite Luc Petit, qui a été l’un des acteurs de premier plan du bodyboard en France avec le team Morey Boogie, a entrepris l’impressionnant travail éditorial que constitue Générations Santocha, un ouvrage de 360 pages autour de l’histoire du mythique club du même nom fondé à Capbreton en 1975.

Remettre le clocher au centre du village…

Il rétablit ainsi l’histoire du surf landais, trop souvent relégué en arrière-plan par l’omniprésente Côte basque. Or, comme pour tout bon travail d’archives, il suffit de chercher pour trouver des trésors et des histoires. Et c’est ce qu’a mené sur quelques années acharnées, l’opiniâtre « Petit Luc » pour donner au surf sud-landais le livre qu’il méritait.

l'auteur de l'article Hervé Manificat en compagnie de Frank Zancanaro et ....
Frank Zancanaro, ancien président du Santocha Surf Club, un pote, et Hervé Manificat, écrivain et journaliste à Hot Dogger le soir de la présentation du livre Génération Santocha au boardrider de Capbreton.

Un belle initiative qui fourmille d’informations, où le plus légendaire côtoie le plus trivial, servie par une iconographie remarquable.

Une manière de rendre honneur aussi à tous ceux qui par leur passion ont contribué à l’établissement d’un surf français de très haut niveau. »

Hervé Magnificat.

Les surfeurs capbretonais en 1975 devant leur premier surf club en bois : Pierre maraud des Grottes, Pierre Monge, Jean Marie Gelez, Pierre Puyau et Dominique Tachon.

« Un belle initiative qui fourmille d’informations, où le plus légendaire côtoie le plus trivial, servie par une iconographie remarquable. »

Hot Dogger – dec 2023

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Mémoire d’un surf club, par Surfer’s Journal

Mémoire d’un Surf Club
par Surfer’s Journal

 » En 1975 est né à Capbreton le Santocha Surf Club, un nom tiré du film mythique (réalisé dans l’esprit surf de cette époque), sorti un an plus, The Forgotten Island of Santocha. Luc Petit, enfant de la balle, bodyboardeur, écrivant pour les mags de surf, travaillant chez Rip Curl…, a décidé plus de 40 ans plus tard de faire un travail de mémoire. Au départ le projet d’un livre avec quelques photos du passé rassemblées, puis c’est devenu une quête d’images, de souvenirs qui a duré quatre ans et qui a abouti à ce livre monumental de 350 pages, à la volonté d’un seul homme, traitant de l’histoire du surf à Capbreton.

Auto édition : une solution courageuse

Edité grâce à des partenariats et un crowdfunding, ce livre est incontournable pour tout surfeur capbretonnais ou landais, la richesse de sa diversité iconographique à travers les décennies en fait un ouvrage d’archives à même de régaler plus d’un historien. Nous, on est totalement admiratif devant cette oeuvre de tissage d’une communauté. Et si tous les surf clubs faisaient de même, que de liens transgénérationnels se renouvelleraient, se perpétueraient à l’eau comme sur la plage. »
Gibus de Soultrait.
Gibus de Soultrait et Paul Merceron
Gibus de Soultrait, rédacteur en chef de Surfer’s Journal en compagnie du surfeur Capbretonais Paul Merceron, lors de la soirée de présentation officielle du livre Générations Santocha.

Jean Michel Fargues, Paul Merceron et un anglais de passage se préparent avant d’aller dans leur série de a compétition du Santocha en 1978, sur la plage du Prévent.

« Nous, on est totalement admiratif devant cette oeuvre de tissage d’une communauté. »

Surfer’s Journal – dec 2023

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Le surf s’expose à la MOP

Le surf s’expose

à la MOP Capbreton

UNE EXPOSITION POUR REVIVRE L’ÉPOPÉ
DU SURF À CAPBRETON

1964 … Il y a 58 ans, le surf arrive à Capbreton. 
Mais savez-vous comment, ou avec qui ?

Après plus de 3 ans et demi de documentation, le Capbretonnais Luc PETIT retrace cette histoire du surf capbretonnais au travers d’un livre de plus de 350 pages de textes et de photos : « Générations Santocha ». Le projet est un véritable devoir de mémoire, de transmission aux jeunes et futures générations, de cette âme du surf, cet art de vivre « Santoha ».

C’est dans ce cadre, qu’une exposition entièrement dédiée à l’histoire du surf capbretonnais, a été réalisée à la MOP, Maison de l’Oralité et de la pPluralité de Capbreton du 10 novembre au 31 décembre 2022.

Photos et objets d’époque

Les visiteurs venus nombreux ont pu y découvrir ces premiers surfeurs Capbretonnais qui, quelques années plus tard, participeront à la création d’un des plus vieux surf club des Landes, le Santocha Surf Club.

Mais aussi revivre l’évolution de leurs planches, de leurs combinaisons exposées sur place, ou des bâtiments qui ont abrité leur surf club à travers ces générations.

Les Capbretonais, mais pas que, ont pu se replonger dans les 30 premières années de cette histoire, sans oubliez pla nouvelle génération, ces spots locaux devenus célèbres, ou les dessins originaux de Yann Renauld, Claude Davancens et Eric Mendiharrat qui ont aussi illustré cette histoire locale.

On retrouvait toutes les photographies de ces instants magiques du passé et leurs histoires dans le livre «Générations Santocha» dont a été tirée cette exposition. 

« Surfing to me is like playing music. You play different melodies with different boards. »
Skip Frye

Écrit par Luc Petit après plus de 3 ans et demi de documentation, dans le seul but de transmettre cet art de vivre « Santocha » aux futures générations, comme un devoir de mémoire, pour ne pas perdre l’âme originelle de ce sport.

Vous y retrouverez une sélection de photos de ces hommes, ces vagues, ces instants magiques du passé, mais aussi leurs anciennes planches. Vous pourrez découvrir des dessins originaux de Yan Renaut, Claude Davancens ou Eric Mendiharrat qui ont aidé à illustrer ce livre, réelle encyclopédie du surf Capbretonnais.

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Aussie d’ici

26 octobre 2022

Aussie d’ici

Maurice Cole est le plus francais de tous les australiens.

« J’ai passé une nuit incroyable avec le lancement du livre de l’histoire du surf à Capbreton/Santosha/La Piste/ VVF. Un des meilleurs livres historiques que j’ai vu, très émouvant de voir de beaux vieux clichés, souvenirs d’une erreur de découverte et de vagues pionnières !! Le gars qui a fait le livre Petit Luc, je lui ai fait un boogie board sur mesure dans les années 1980 comme vous pouvez le voir il l’a toujours et a fait un travail incroyable avec ce livre plus de 300 pages 5 ans de travail acharné. La soirée que je suis allée m’a époustouflé comme beaucoup de jeunes gars qui sont venus après moi mais maintenant grands parents, mdr😂. Oh merci Luc pour un livre incroyable et si quelqu’un est vraiment intéressé, je ne peux pas recommander cet instantané assez fortement dans une partie incroyable de la culture du surf. Santochalife.com PS le sshotwith me sur la plage avec mon Doc adoré, ça rappellera beaucoup de souvenirs pour les gens qui étaient ici en France 😀❤️🙏🏿 »

Influenceur de Surf

Un des grands influenceurs à Capbreton fut l’Australien, surfeur et shapeur, Maurice Cole. Né en 1954, est un des surfeurs australiens (ou Aussie) les plus doué de sa génération qui termine 5e au championnat du monde juniors en 1980. Il commence à shaper à l’âge de 20 ans car il n’est pas content des planches qui sont faites à l’époque, et deviendra par la suite un des shaper les plus reconnus au monde, notamment en shapant les planches de champions du monde comme Tom Curren, Mark Occhilupo, Taj Burrow ou Kelly Slater. Maurice a aujourd’hui plus de 20 000 planches à son actif.

« Quand je suis venu aux championnats du monde, en 1980 – j’étais dans l’équipe d’Australie – on pensait alors qu’en France, il n’y avait pas beaucoup de vagues. Le premier jour de compétition était la journée des juniors. C’était un samedi matin tôt, vers sept heures et demie ou huit heures, j’étais avec les frères Lavielle d’Hossegor, c’est la première fois que j’ai vu la Gravière. J’ai toujours cette image en tête.  Les vagues faisaient six ou huit pieds, des droites et des gauches avec des souffles, j’ai failli avoir une crise cardiaque. Et là on m’a dit : « Non, ne surfe pas ici, c’est trop rapide ». Moi, j’y étais déjà ! On louait une petite maison juste derrière la Gravière, je suis parti en courant et je suis allé dans ma chambre, il y avait Rabbit Bartholomew qui était sorti jusqu’à 4 heures du matin, qui me demanda comment étaient les vagues.

« En 1980 quand je suis arrivé en france, j’ai pris ma « twin fin », j’ai dit à Rabbit « c’est les meilleures que j’ai jamais vu de ma vie », et je suis reparti à l’eau.

Je suis allé à l’eau et pendant vingt minutes j’ai pris que des « branlées pas possibles ». J’avais attaqué que les grosses vagues alors je me suis dit calme toi, calme-toi. Puis j’ai pris une vague de 4 ou 5 pieds, un premier tube, puis un autre tube…puis il y a eu une série de vagues de 6 pieds, 2 mètres. Tout à coup, j’ai vu arriver Rabbit, marchant sur la dune, avec sa planche sous le bras. Je me suis dit, putain, je vais choisir ma vague, tu vas voir. Quand la série est arrivée, les tubes étaient comme à « Back Door », à Hawaii. On était debout dans le tube ou un peu courbé, on ne voyait plus la sortie, si on partait sur une vague de 2 mètres, on ressortait du tube encore debout avec le souffle. Je me souviens, j’ai pris une vague de cette série, je suis sorti du tube avec le souffle et j’ai regardé Rabbit vite fait sur la plage. C’était comme dans « les chariots de feu », il s’était mis à courir comme un fou sur la plage, et je l’ai vu comme au ralenti avec la musique dans ma tête. Ce jour-là, j’ai surfé pendant sept heures et demie, et je suis tombée amoureux de la France et ça a été la grande aventure. Deux ans après, j’habitais à Capbreton, derrière la Piste.

La suite dans le livre Génération Santocha

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Lancement du Livre GS

Un lancement réussi

Le 13 octobre 2022, le Boardrider de Capbreton acceuillait un évènement extraordinaire. Après 4 ans de travail Luc et Sarah Petit présentaient enfin le livre sur l’Histoire du Surf à Capbreton, à tous leurs « financeurs participatifs » et partenaires.

Plus de 150 personnes était là ce soir là, pionniers du surf, photographes, écrivains, shapeurs, surfeurs ou enfants de surfeurs, que des amis qui ont cru dans cette grande aventure depuis le premier jour, et qui n’ont jamais rien relacher de leur confiance. 4 ans plus tôt Luc et Sarah lancez le programme de financement participatif et demandaient à leurs amis d’acheter le livre (numéroté) avant qu’il ne sorte pour pouvoir le produire. Beaucoup  plus long a réaliser que prévu, les recherches à la médiatheques, les interviews, les coup de fils, les documents a rassembler, l’écriture, la relecture, la mise en page, la maquette passe de 190 à 360 pages pour rester fidèle au plan et à l’idée de départ que s’était faite Petit Luc dans sa tête. Les détracteurs s’impatientent, discréditent le projet sans le connaître, ne font pas d’effort pour aider, ni à porter leurs documents, leurs archives, leurs photos, apporter leur petite contribution à l’histoire qu’ils ont eux même vécu. Difficile à vivre, mais pas insurmontable pour le couple qui ne lâche rien, et va chercher l’info, les photos par des biais différents afin que TOUS soient représentés, sans discrimination aucune.

un livre en totale Auto édition 

Le covid, la guerre en Ukraine, le papier augmente, le budget s’envole plus on se rapproche de la sortie du livre. Le financement participatif rassemble près de 70 % du budget du livre, que cela ne tienne, on continue en auto édition totale et Santochalife s’endête pour plus de 30 % pariant sur les ventes futures. le projet n’a jamais été lucratif, mais simplement de marquer cette histoire d’un ouvrage qui restera à jamais, le but ultime depuis le début a été de sortir se livre, quoi qu’il en coute !

C’est toute cette histoire que Luc raconte sur l’estacade du Boardrider sous les applaudissement et les félicitations de tous. Emu, heureux, soulagé, il ne peut que remercier Sarah qui l’a aidé et soutenu pendant ses 4 ans, le meilleur pied de nez à ses détracteurs étant la distribution de cet ouvrage de plus de 2 kg à tous. Il est là, l’histoire est écrite, c’est le seul, unique livre sur l’histoire d’un surf club en France, en europe, dans le monde, et d’une telle ampleur.

« Une bible de chevet qui fleure bon l’iode et le vent off-shore! ! Un travail colossal et magnifique! L’épopée du surf Landais et les mémoires salées d’un club mythique, le SANTOCHA, impossible de passer outre… Recommandé par Cosmic Tubes « . Yann Renauld

Ils sont tous fait le déplacement ce soir là, du Nord, Chartres, Paris, du Sud, ils ont passé l’Adour de Biartitz, Bidart, Hendaye, les locaux, les pionniers Pierre Puyau, Dassé, Gelez, Trey, Bordes, Causseque, Dignat, Paccou Zancanaro, Delaporterie, Merceron, D’Avezac, les photographes Cazenave, Dimulle, Ruiz, Masurel, les écrivains Verlhome, Magnificat, Lizzarazu, les surfeurs locaux disparus des écrans Videau, Verdier, Le Bud, les partenaires Labadie, Galdos, les amis qui ont aidé Passicos, LeNoel, Mazoyer, Gouillon, Lacampagne et tant d’autres qu’on ne peut citer les 150 personnes.

La soirée fut magique pour tous, et se rapprochait de celle qui avait réuni tant de monde pour les 40 ans du Santocha…Vivement les 50 ans, ou le tome 2…

Ceux qui ont investi 50 euros dans un projet de livre de 192 pages il y a 3 ans, ont ce soir dans les mains un livre de 360 pages, ce qui représente un rendement de leur investissement de plus de 87%. Imbattable, la meilleure affaire pour eux depuis longtemps !!
Alexis, conseillé financier Santochalife

  • surfeurs pionniers du surf a capbreton

    Les pionniers se retrouvent

  • Nico, Fab,Vincent et Seb

  • Sylvain, Maurice, Jérôme, Paul et Luis

  • Frank, Hugo, Hervé et Servane

Visionnez toutes les photos de la Soirée prises par Christophe Dimulle

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